Lettre de Paris à un ami de Conakry
3 mars 2012
Mon cher ami, Ma décision est prise. Mon sac est prêt. Je rentre au bled ! D’ici, j’entends ta réaction : « Il est fou lui ; revenir ici après avoir foulé Fötéta (Occident) ! ». Non, je ne suis pas fou mais je comprends ton choc. A la fin de cette lettre, tu comprendras mes motivations. Cher ami, que les choses soient claires, mon intention n’est pas de gâcher ta soirée ou de te décourager…